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Image de Alessio Soggetti

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Quelques réflexions, partages d'idées, pensées, autour du coaching, et de l'exploration de soi.

Et si on déconstruisait
les mythes du coaching ?

En quelques années, le coaching a pris une telle ampleur qu’il est difficile de ne pas remarquer les nouveaux profils de coach sur les réseaux, ou bien la tendance accrue aux podcasts et livres de développement personnel.

Et pourtant paradoxalement il existe encore énormément d’idées reçues sur le coaching. Et si on déconstruisait ces mythes pour mieux comprendre la véritable approche du coaching ?

Idée reçue n°1 : Le coaching c’est comme de la thérapie.

Et non. D’ailleurs le coaching n’est ni mieux, ni moins bien que la thérapie. Chaque approche a ses propres forces.

La thérapie revient sur le passé, sur la racine du problème rencontré. Le coaching permet de faire évoluer ses schémas de pensée et ses comportements, il permet de définir des objectifs et un plan d’action pour y parvenir. Il est donc davantage orienté futur.

Idéalement, combiner les deux approches serait encore plus efficace : analyser son passé, pour mieux construire son futur.

Idée reçue n°2 : Coacher c’est donner des conseils.

Si vous ne deviez en retenir qu’un c’est bien

celui-ci : en effet le coaching N’EST PAS du conseil !

Le rôle du coach est de guider son client vers une meilleure connaissance de lui, de l’aider à comprendre la manière dont il a construit sa pensée, pour mieux analyser ses comportements. Il ne s’agit pas de lui donner des réponses toutes faites, mais de l’accompagner à trouver par lui-même ses propres solutions, en toute autonomie.

Idée reçue n°3 : Le coaching c’est le nouveau truc à la mode, ça ne durera pas.

La popularité du coaching est le reflet de bouleversements socio-culturels de fond. Nous vivons aujourd’hui dans un monde imprévisible, où l’on peut changer de métier, de partenaire, de maison, de pays. Cela impacte naturellement nos modes de fonctionnement, car nous avons des choix à faire, ce qui peut amener du stress, des doutes, la peur d’échouer ou de prendre les mauvaises décisions.

Le besoin de se faire accompagner dans certains domaines de vie se fait donc ressentir, et c’est pas prêt de changer.

Idée reçue n°4 : Être coach, c’est vouloir sauver les gens.

Et non, surtout pas !

Évidemment que le rôle de sauveur est très 

gratifiant : il permet d’avoir une bonne image de soi et une bonne image auprès des autres.

Par ailleurs, en endossant ce rôle, cela met en évidence que face au sauveur, le client est placé en position de victime et donc en incapacité de résoudre seul ses problèmes.

Vouloir sauver l’autre c’est lui enlever sa part de responsabilité, et son autonomie. Tout le contraire de la bonne posture du coach.

Idée reçue n°5 : Le coaching c’est inutile, on peut se débrouiller tout seul.

C’est vrai, c’est d’ailleurs le propre de l’être

humain, la créativité et l’adaptabilité.

Personne n’est obligé de passer par un

accompagnement de coaching pour commencer

à changer et mettre des choses en place.

Mais il est particulièrement précieux quand vous vous sentez enlisé dans une situation, quand vous savez que quelque chose ne vous convient pas sans vous sentir capable pour autant de changer les choses. Et il est souvent très difficile de faire ce travail quand on est seul.

Idée reçue n°6 : Le coach peut aider son client uniquement s’il a vécu la même situation que lui.

Cela signifierait qu’il n’existe qu’une seule manière de répondre à une problématique, alors que ce n’est pas comme ça que ça fonctionne. Je le répète, le coaching n’est pas du conseil, le coach doit accompagner son client à trouver ses propres solutions en lien avec sa sensibilité, sa personnalité, son histoire. Le coach est en position basse, il n’a pas de connaissances ou d’expertise sur le sujet de son client.

Idée reçue n°7 : Tout le monde peut être coach.

À mon sens, on n’apprend pas à devenir coach dans les livres de développement personnel, sur Instagram ou dans les podcasts. On peut apprendre des outils de coaching, et les tester sur soi, mais ils ne sont pas l’essence même du coaching. Ce qui est primordial c’est la posture et l’expérience du questionnement ouvert. C’est pour ça qu’il est essentiel d’être formé, accompagné par de bons coachs mentors, superviseurs, pour pratiquer avec eux et apprendre la bonne posture avant de se lancer dans ce métier.

Le 1er mars 2024

Image de Inna Kapturevska_Ua
Image de Priscilla Du Preez 🇨🇦

La puissance d'avoir un objectif

Ce matin je me suis réveillée de bonne humeur, et c’est assez dingue de retrouver cette sensation. Non pas parce que c’est un phénomène incroyable, mais parce que ça faisait quelques temps que ça ne m’était pas arrivé. Dernièrement dans ma tête on était sur la même météo qu’à Paris : 75% de pluie, 25% mitigé… 
Et si dans ma tête c’était autant mitigé, c’est parce que j’étais en train de m’enliser. Je mettais ça sur le compte du manque de temps, mais c’est simplement que je ne savais pas où j’allais, que je n’avais pas fixé de vrais objectifs.
Pour ma journée d’aujourd’hui précisément, j’ai posé une intention. Une intention intellectuelle, créative, sociale, en lien avec mes valeurs, avec mes besoins.
L’effet est assez immédiat, ça me redonne rapidement de l’énergie même si le sommeil est compliqué, je retrouve de la motivation pour agir, et même si le temps me manque je suis certaine que j’arriverai quand même à mettre des choses en place et à faire évoluer mes pensées.

Ce matin en me réveillant, je me suis rappelée les moments que j’ai passés au Portugal il y a deux semaines, face à l’océan, face à l’immensité des possibles, je me suis rappelée que nous étions tous les créateurs de notre quotidien, et qu’il n’en tient qu’à nous de le rendre aussi riche, aussi intense et aussi créatif qu’on le souhaite. Evidemment qu’il n’existe pas une recette miracle toute faite pour se sortir de l’impasse, mais ce qui est sûr c’est qu’avoir un objectif, c’est un bon début.

Je vous souhaite une belle route vers vos objectifs, et d’accepter de temps en temps la grisaille de vos pensées.

Le 29 février 2024

Respirer

Il y a quelques jours je suis allée profiter de l'océan au Portugal, dans mon pays d'origine, je me suis assise sur le sable, face aux vagues et j’ai respiré. Tous les jours. Respiré vraiment. À pleins poumons. J’ai fait entrer de l’air dans mon corps, dans ma tête… j’ai aéré mes pensées comme on aère sa maison, j’ai laissé entrer les courants d’airs.

Alors face à l’océan, rythmée par le son des vagues, j’ai pris conscience de ma respiration et j’ai observé ce qui se passait quand j’inspirais et quand j’expirais.
Rien de fou, rien de compliqué, j’ai juste fait rentrer de l’air, en conscience… mais ça m’a changée.
Plus l’air rentrait et plus les idées me paraissaient claires, et les soucis moins importants.

Je crois qu’il y a réellement un lien entre le fait d’inspirer de l’air, et d’être inspiré… pas seulement au niveau lexical. 
Pour être inspiré, nous devons nous sentir libre et léger, et quoi de mieux pour ça que de laisser entrer l’air dans nos corps ? Si on ajoute à cela de la beauté, de l’émotion, et une touche de frivolité, il y a fort à parier que de nombreuses idées viennent rapidement frapper à notre porte.

Le 16 février 2023

Image de Ian Schneider
Image de Tim Umphreys

Collaboration créative

Il y a quelques jours j’ai diné avec des amis, ce genre d’amis qui donnent confiance, qui motivent, qui élèvent l’âme, qui considèrent l’autre dans son entièreté, avec ses forces et sa vulnérabilité.

Avec qui au détour d’un mot, d’une pensée, le feu des idées s’embrase, et on se voit alors rêver ensemble, co-créer, s’élever. On pourrait même parler de créativité transcendante car on perd la notion du temps et de notre individualité. C’est un moment de flow créatif qui nous aide à prendre du recul dans nos vies instables, à nous dépasser, à donner vie à nos idées qui commençaient à prendre le chemin de l’inertie.

 

La collaboration créative est un processus fascinant qui peut donner lieu à des résultats incroyables et qui peut aider à libérer notre créativité de manière significative.

L’une des clés est la confiance. Nous devons avoir confiance en nos idées, mais aussi confiance en nos partenaires. Il est nécessaire de se sentir en sécurité, dans un cadre bienveillant et de non jugement, sans craindre que nos idées soient futiles ou mal perçues.

L’autre clé est la diversité. Nous avons besoin d’une variété d’expériences, de talents, de perspectives, pour créer quelque chose de vraiment innovant.

 

Et même si tout cela peut nous paraître évident, il n’en est pas moins si facile. Car pour comprendre ce qui se passe dans un groupe en matière de créativité, une sorte de rupture est nécessaire, dire aurevoir au « moi », à notre individualité, à notre ego, à notre soif de gloire et de domination, pour embrasser l’idée du collectif, et avancer vers un même but.

 

Finalement, si nous cultivons un état d’esprit créatif et positif au quotidien, que nous continuons d’entretenir des liens sociaux de qualité, il est fort possible qu’un soir lors d’un dîner entre amis, au détour d’une conversation remplie d’authenticité et de vulnérabilité, le feu des idées s’embrase, pour que la magie de la créativité opère.

Le 18 décembre 2023

En route vers nos objectifs !

Il y a quelques mois j’ai lu « les 5 regrets des personnes en fin de vie » de Bronnie Ware et quel électrochoc ! Quand les personnes se rendent compte que leur vie est presque terminée et y repensent clairement, il est facile de voir combien de rêves sont restés insatisfaits.

Elles regrettent de ne pas avoir exprimé leurs sentiments, d’avoir passé trop de temps à travailler et pas assez auprès de leurs proches, ou encore d’avoir vécu la vie que d’autres attendaient d’eux.

Et personnellement quand je lis ça, ça me donne envie de passer à l’action. Et oui parfois cela demande beaucoup d’efforts, d’organisation, d’inconfort, de discipline, de faire abstraction à son taux de fatigue, à ses peurs, au regard des autres, ou autre… mais in fine ce qu’on retient c’est l’objectif atteint. Et ce qu’on obtient c’est surtout de la satisfaction et même de la fierté. Fierté d’avoir accompli ce dont on ne pensait pas être capable…

Cela booste la confiance en soi, nous permet de franchir des étapes vers d’autres objectifs plus ambitieux, d’apprendre de nous et donc de nous développer personnellement. 

 

Ceux qui me connaissent savent que j’ai une to do list sur laquelle sont notés certains objectifs que je tente d’accomplir cette année…

Lancer mes accompagnements en coaching, animer des ateliers collectifs, prendre l’avion seule avec mes enfants en bas âge, et faire du parapente faisaient, entre autres, partie des cases que je voulais cocher cette année. Et je suis heureuse d’avoir pu réaliser tout ça.

 

J’ai coché la case du parapente il y a deux jours et quelle expérience ! Me jeter dans le vide en faisant confiance à la voile, au vent, à un homme que je connais seulement depuis 10 minutes, et en me faisant un peu confiance aussi…

J’ai vécu cette expérience comme un processus à réitérer dans tous les domaines de vie. Car finalement le résultat était puissant et mon sentiment de liberté décuplé.

 

Je vous souhaite à tous bonne route vers vos objectifs, d’en apprendre sur vous en chemin, et d’arriver au bout avec fierté.

Le 11 septembre 2023

Image de Sandra Grünewald
Image de 🇸🇮 Janko Ferlič

Philosophie Stoïcienne

En ce moment je lis pas mal de choses sur la philosophie stoïcienne, je me rends compte à quel point il y a dans la philosophie antique un goût d’aujourd’hui. À quel point le processus psychologique humain n’a pas d’âge. Nous avons quelque chose en nous qui dépasse les cultures, les sociétés, les époques. 

 

En me renseignant sur le Stoïcisme, je cherchais à comprendre comment l’être humain pouvait grâce à la philosophie et à la psychologie sortir d’une période de crise. La réponse est évidemment bien trop complexe. Mais je me suis aperçue que j’adoptais déjà une forme de pensée stoïque…

 

Il y a dans la vie les choses qui dépendent de nous, et ce qui dépend de l’environnement, de la nature, des éléments extérieurs. Il est tout d’abord primordial d’apprendre à distinguer ce qu’on peut changer, de ce qu’on ne peut pas changer. Et dans la pensée stoïque ce qu’on ne peut pas changer doit être accepté. J’assimile ça à une forme de courage, car à mon sens il n’est pas toujours évident de refouler certains sentiments et certaines émotions quand on fait face à un deuil soudain, ou à une injustice par exemple. Mais j’ai le sentiment que si on reste trop longtemps dans nos émotions, et dans notre volonté de vouloir changer ce qui n’est pas possible de changer, alors il sera plus difficile d’avancer vers une vie plus paisible.

Apprendre à accepter ce qui peut paraître inacceptable demande énormément de courage et de résilience. Et je tiens à exprimer mon admiration pour toutes les personnes qui vivent des drames et se montrent résiliantes, qui dépassent les difficultés en acceptant la situation.

 

Apprendre à penser différemment, se remettre en question, apprivoiser ses émotions, adopter des pensées raisonnées, accepter aussi que parfois les drames de la vie soient plus forts que notre esprit, accepter qu’on puisse mettre un peu plus de temps à se relever… à mon sens tout ceci rend l’expérience vécue utile, la transforme en un apprentissage et nous fait avancer vers plus de sérénité.

Le 5 juillet 2023

Le regard des autres

Le regard des autres nous intimide, nous impressionne, il influence nos opinions comme nos comportements. Il devient une sorte d’entité autonome « Les Autres », dont l’œil impitoyable serait à l’affût du moindre manquement, du plus petit défaut.

 

Pour ne pas ressentir des émotions négatives comme le rejet, le découragement, la honte… on apprend à se détacher de tout ce que les gens pourraient bien penser de nous, en apprenant à se conformer, à plaire, à se faire petit, à faire semblant.

 

Et comme les autres partagent également nos craintes, nous nous retrouvons au beau milieu d’un carnaval dans lequel chacun observe les autres depuis la protection de son masque.

L'idée c'est d'ôter son masque, de s'imaginer la vie idéale qu'on pourrait vivre si on n'arrêtait de se cacher, les bienfaits de l'authenticité, de comprendre ce qui se cache véritablement derrière nos peurs, et de prendre conscience de nos forces, de nos qualités et de nos talents pour nous donner davantage confiance en nous.

Le 22 juin 2023

Image de Nicola Richli
Image de Timo Stern

Nos comportements

Combien de fois vous avez pu dire cette phrase « je ne sais pas pourquoi je fais ça » ? 

 

Pas simple d’essayer de changer des comportements inappropriés dans notre vie, si on ne sait pas pourquoi on les adopte, ou qu’on a la conviction que c’est plus fort que nous.

 

En fait, toutes les actions qu’on entreprend sont animées par l’émotion qu’on ressent.

L’émotion est le carburant qui nous pousse à agir.

Tous les comportements qu’on a sont tous parfaitement logiques et légitimes, par rapport aux émotions ressenties à ce moment-là.

 

La frustration, née de nos comportements insatisfaisants, est en réalité une question de tiraillement entre le cerveau primaire, qui recherche la satisfaction immédiate et évite la douleur, et l’autre partie de notre cerveau le cortex pré-frontal qui est plus réfléchi et plus évolué et qui cherche lui la satisfaction à long terme.

 

L’idée c’est d’apprendre à donner à chacun les commandes, à des moments appropriés, pour pouvoir adopter des comportements qui vous conviennent et éviter les frustrations sur le long terme. Et en conscience, pour éviter le pilotage automatique.

 

Je vous invite à explorer votre manière d’être pour mettre en conscience vos émotions, à comprendre vos besoins, et envisager des comportements différents pour les satisfaire. Pour vous permettre d’être plus en connexion et en paix avec vous-même.

Le 12 juin 2023

L'authenticité

L’épanouissement personnel est dans toutes les discussions. On est sans cesse à courir derrière le bonheur. On lit des livres qui édulcorent le réel à l’aide de mots doux. Et on préfère noyer les mots qui font mal, et les passions tristes, alors que tout ça est nécessaire à notre évolution.

On préfère penser que tout est possible, qu’il n’y a aucune limite, que tous les rêves sont réalisables et on finit par se créer une bulle loin de la réalité.

 

Mais le développement personnel doit – si l’on en croit le nom – développer les personnes. Ceci suppose de développer l’esprit critique, le discernement, l’acuité de l’esprit, et non pas de plonger tête baissée dans une impersonnalité engourdissante pour l’intelligence.

 

Être ouvert au développement personnel c’est bénéfique car croyez-moi c’est puissant, ça change bien des choses et résout bien des problématiques, mais il est essentiel de garder son authenticité et ses pieds sur terre. Être soi-même, dans la joie ou dans la tristesse, livrer une part de sa vulnérabilité, comprendre plutôt que se voiler la face. Tirer des leçons de ses comportements et accepter sa manière d’être et de faire. C’est ça pour moi le plus important.

Le 22 mars 2023

Image de Thomas Kelley
Image de Jayson Hinrichsen

La Créativité

La créativité est au coeur même du processus de coaching, et elle a toujours fait parti de mon vocabulaire, pas seulement parce que j’ai été directrice artistique dans la publicité, mais parce que ce mécanisme est intéressant dans tous les domaines.

 

Quelle soit à des fins privées ou professionnelles, la créativité est à la portée de tous et nous aide à avancer dans tous les aspects de notre quotidien. Elle nous aide à trouver des solutions à nos problématiques, à voir les choses sous un autre angle, à prendre des décisions, à améliorer nos relations avec les autres, à innover, à prendre confiance en nous, et à nous dépasser. Si l’on développe notre créativité au quotidien, alors on peut se créer un monde meilleur.

 

Évidemment ce n’est pas quelque chose de magique, les neurosciences ont démontré que nous pouvions développer notre capacité créative et que cela se passait au croisement de nos émotions, de nos connaissances et de notre environnement.

 

Et comment la développer justement ?

En tirant partie de ses erreurs, en ayant une vision à long terme, en persévérant, en s’ouvrant au monde, en s'autorisant à rendre une transformation possible, en s’inspirant, et surtout, en restant curieux.

 

Le 15 mars 2023

La carte n'est pas le territoire.

Cette affirmation est un Présupposé de la Programmation Neuro Linguistique issu de la sémantique générale d’Alfred Korzybski.

Cela signifie que nous regardons le monde à travers des filtres (neuro-physiologiques, socio culturels, croyances,..), et qu'il existe une infinité de représentations différentes de la Réalité.

 

On doit toujours garder en tête que notre carte du monde est incomplète et que les chemins qui s’y trouvent résultent de nos expériences, de nos connaissances et de nos croyances, qui sont toutes différentes de celles de notre voisin et qui nous font voir le monde différemment.

 

Quand on reconnaît que l’on ne connait pas la vérité absolue, on est plus enclin à s’intéresser à la représentation que les autres ont du monde, même si celle-ci est opposée à la nôtre. On peut alors voir le monde à travers leurs yeux et comprendre des choses que l’on ne comprenait pas avant.

 

C’est le meilleur moyen d’avoir une représentation plus complète et plus juste du territoire. Car même s’il est impossible de connaître la vérité absolue, on peut toujours se dire qu’en ayant raison cela ne signifie pas que l’autre a tort.

Le 3 mars 2023

Image de Sergei A
Image de Joel & Jasmin Førestbird

"La vraie générosité envers l'avenir consiste à tout donner au présent." A. Camus

Comment peut-on espérer devenir une meilleure version de nous-même, nous dépasser, vivre paisiblement et avec fierté, si l’on ne donne pas tout là maintenant tout de suite ? Seul le présent nous appartient. Le passé a été, et l’avenir n’est pas encore....Chaque matin, au réveil, dites-vous que rien n’est plus important que de bien vivre aujourd’hui.

Le 10 janvier 2023

Bonne année 2023.

Je vous souhaite avant tout la santé, et que cette année soit vivante, fougueuse, pleine de rires, de moments de bonheur à partager avec les gens que vous aimez.
Je vous souhaite d’avoir des beaux projets, de les réaliser, d’être bien entourés, de vous épanouir.
Je vous souhaite de voir le verre à moitié plein, de déceler les merveilles de votre quotidien, de vivre votre vie pleinement car rien ne dure toujours.
Je vous souhaite de parvenir à rebondir à chaque coup dur, et de transformer vos émotions négatives en un tremplin qui vous fera monter si haut que vous parviendrez à faire disparaître les nuages.
Je vous souhaite d’aimer la vie, d’aimer vos proches fort, très fort ! Car il n’y a rien de plus précieux et de plus moteur dans la vie que l’amour.
Je vous souhaite de trouver l’équilibre qui vous permettra d’être vous-même, tout le temps.

Le 2 janvier 2023

Image de Dino Reichmuth
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